Pourquoi on se compare toujours aux autres ?
Qu’est-ce qu’elle a de plus que moi, elle ? Pourquoi mon voisin a-t-il une plus grosse voiture ? Pourquoi est-elle aussi jolie ? Comment se fait-il que son compte Instagram marche mieux que le mien alors que je fais de meilleures photos ?
Vous l’aurez compris, se comparer aux autres est presque un sport national. Dans une société qui détermine ce que l’on devrait soi-disant posséder pour être heureux ou quel statut social est acceptable d’atteindre, il est aisé de tomber dans le piège de la comparaison.
J’ai découpé cet article en 3 parties, pourquoi tombons-nous dans le piège vicieux de la comparaison ? Pourquoi est-ce toxique de se comparer aux autres et finalement comment cesser de se comparer aux autres ?
La compétition et l’évaluation au cœur de notre société
Dès notre plus jeune âge, on nous explique qu’il faut être meilleur que notre petit camarade de classe. On est déjà en compétition pour avoir les meilleures notes et être le premier, puis on se retrouve vite en compétition pour intégrer les universités de top niveau et autres écoles spécialisées. Arrivée dans la vie active, on rentre en compétition pour avoir le meilleur CV et décrocher le meilleur job. Le cercle sans fin de devoir toujours être au-dessus des autres, du moins c’est ce que l’on pense.
On retrouve aussi cette problématique au sein même des familles. Être comparé à ses frères et sœurs qui sont supérieurs que nous dans un domaine précis. « Ah tiens, ta sœur est meilleure que toi en math » « Ton frère est meilleur que toi en sport ».
Sans même le vouloir, on se retrouve comparé, non pas en tant qu’individu, mais par rapport à une compétence, qui ira jusqu’à déterminer notre valeur aux yeux des autres.
La notion de compétition n’est pas la seule responsable, en parlant de l’école je disais qu’on incite la compétition entre les élèves, mais il y a aussi un important critère d’évaluation qui se crée implicitement.
Se comparer aux autres, c’est s’évaluer sur son propre statut, de savoir où on se situe. Sauf que ce phénomène est poussé à l’extrême, aujourd’hui on va même jusqu’à évaluer des médecins sur Google, à noter n’importe coiffeur ou restaurant, ou bien encore à évaluer l’intégralité des produits sur un site de vente en ligne.
Ce qui est valable pour des entreprises l’est tout autant pour les gens. Les salariés seront évalués en permanence pour leurs résultats avec les conséquences positives et négatives que ça entraine derrière, ajoutant du stress et de la pression.
Vous l’avez compris, la culture de la compétition est ultra présente dans chaque domaine dès l’enfance et notre société met tout en place pour alimenter ce phénomène.
Culte de l’image
Dans cette volonté d’évaluation, j’y vois aussi un autre trouble majeur : le culte de l’image, et notamment l’image du corps « parfait ».
Tous ces magazines de mode qui définissent les critères d’une soi-disant beauté à atteindre, et si tu n’as pas le même physique que ce top modèle tu ne vaux rien.
Cette quête insensée à la recherche de ce beau fessier, de ce ventre si plat qui nous fait défaut ou de cette tablette de chocolat qu’on doit forcément obtenir pour être bien dans sa peau et dans sa vie.
Cela a pour effet de nous renvoyer en permanence une image de ce qu’on n’est pas, mais qu’on devrait être aux yeux de critères pour le moins très subjectif.
L’arrivée des réseaux sociaux et notamment l’essor d’Instagram ont encore amplifié ce phénomène. Il est devenu si facile pour tout un chacun de montrer son quotidien et surtout de montrer à quel point sa vie est géniale.
Nous sommes abreuvés en permanence de personnes qui passent leur temps en vacances dans les plus beaux endroits du globe, pour nous faire comprendre que finalement, on pourrait être à leur place.
Les conséquences négatives sont nombreuses et j’en reparlerai plus loin.
Culte de la possession
“Quand je suis allé à l’école, ils m’ont demandé ce que je voulais être quand je serai grand. J’ai répondu : “Heureux”. Ils m’ont dit que je n’avais pas compris la question, j’ai répondu qu’ils n’avaient pas compris la vie.” John Lennon
Je me souviens encore de ce scandale il y a quelques années du publicitaire Jacques Séguéla répondant à une question en disant « Si à 50 ans on n’a pas une Rolex, c’est qu’on a raté sa vie » cela avait fait un tollé à l’époque et pourtant, n’avait-il pas mis le doigt dans un problème plus profond ?
La société détermine qui a réussi ou non, selon ce qu’on possède. Richesse, biens matériels, un raccourci a été vite créé dans l’inconscient collectif, celui de penser que pour être heureux je dois posséder toujours plus.
Cette quête sans fin a transformé le célèbre « Je pense donc je suis » de René Descartes en « Je possède donc j’existe »
On nous présente certains trucs à avoir pour être dans le coup, tout simplement si tu n’as pas ça ou ça, t’as raté ta vie et tu ne peux pas être heureux.
D’ailleurs ça commence très tôt, dès l’école primaire, les enfants seront constamment en train de se juger entre eux selon les vêtements qu’ils portent, mais au fond, même à l’âge adulte le phénomène persiste.
Certains se sont même posé la question suivante, est-ce qu’on possède les choses ou est-ce que ce sont les choses nous possèdent ? Vaste débat.
Défaillance de l’estime de soi
C’est un réflexe naturel d’évaluer notre situation et ce n’est pas forcément un souci. Alors pourquoi est-ce que ça tourne souvent mal ?
La réalité est que nous en sommes tous responsable et coupable.
Cela se joue souvent à un détail invisible et pourtant majeur, notre estime de soi.
Notre estime de soi est une évaluation de notre valeur intrinsèque, la manière dont on se perçoit. Encore une fois, on retrouve la thématique de l’évaluation qui est au cœur même de ce que nous sommes.
Lorsqu’un individu possède une bonne estime de lui-même, le fait de se comparer aux autres sera purement à titre indicatif, mais ne prendra pas les choses personnellement.
À contrario, une personne avec une estime de soi basse transformera cette information provenant de l’extérieur comme un objectif à atteindre.
Cela a pour effet de mettre une pression supplémentaire pas toujours souhaitable et aussi de donner des objectifs qui ne sont pas forcément les nôtres, entrainant des conséquences néfastes.
Et c’est justement ce qu’on va voir tout de suite dans la deuxième partie de ce podcast : les conséquences.
Pourquoi se comparer est destructeur ?
Cessons de nous mentir, il y aura toujours quelqu’un de plus talentueux, de plus beau ou de plus intelligent que nous.
Certes, ce n’est pas une raison pour ne pas faire des efforts, juste un constat que c’est un combat perdu d’avance de vouloir être le numéro un partout. On ne peut pas tout avoir, mais on peut avoir ce qui compte pour nous, il n’est donc pas nécessaire d’obtenir ce qui ne nous correspond pas.
Courir après des chimères, c’est avoir la certitude d’être malheureux sur le long terme. Les critères de succès prônés par la société ne sont rien de plus que des mirages.
Bien entendu, chacun possède ses propres valeurs et sa propre vision de ce qu’est le succès, alors ne permettez à personne d’autre de définir ce qui est important pour vous.
1. On se compare toujours de façon désavantageuse
L’un des principaux problèmes de la comparaison, c’est qu’on se jauge sur des critères dévalorisants pour nous-mêmes. On compare systématiquement les points forts des autres à nos points faibles.
Albert Einstein expliquait ce syndrome de façon brillante : « Tout le monde est un génie. Mais si vous jugez un poisson à sa capacité de grimper à un arbre, il vivra toute sa vie en croyant qu’il est stupide. »
Pourquoi alors passons-nous notre temps à nous comparer sur des critères qui ne nous correspondent pas, minant au passage notre bien-être et notre estime. On a tendance à voir uniquement les points positifs des personnes qui nous entourent, pourtant ça ne renvoie qu’une partie de la réalité.
2. On ne voit que la partie émergée de l’iceberg
Que voit-on vraiment chez les autres ? Uniquement ce qu’on a envie d’apercevoir et ce que l’on connait. C’est-à-dire exclusivement des bribes d’informations passées au prisme de notre propre interprétation.
On n’imagine pas le travail et les sacrifices derrières qu’il a fallu consentir pour atteindre une réussite x ou y. On est vite prompt au jugement en oubliant ce qu’il a été nécessaire de mettre en place pour accéder à ce niveau.
Si on regarde nombre de célébrités lors des tapis rouges, elles sont toutes impressionnantes, charismatiques, pleines de confiance. C’est ce que ces personnes dégagent quand on les voit sur nos écrans, et pourtant que connait-on d’elles ? Rien.
On apprend un jour que cette célébrité est alcoolique, que celle-ci est dépressive ou que celle-là est souvent victime d’attaque de panique.
Derrière les apparences, on est incapable de savoir ce qui se passe réellement dans la vie des autres, et on tire des conclusions hâtives et inappropriées.
Ceci est autant valable pour des célébrités et des influenceurs que pour nos collègues de bureau. À tous les niveaux, on peut avoir la sensation que c’est facile pour eux et qu’ils sont meilleurs que nous. Mais si on ne remet pas dans le contexte cela aura pour conséquence de nous dévaloriser, voir à penser qu’on est nul alors qu’on ne voit qu’un fragment de la réalité.
3. En vouloir toujours plus
Être ambitieux/ambitieuse est une bonne chose, mais à force de ne jamais se contenter de ce qu’on possède déjà, on finit par vivre une vie faite d’amertume et de frustration.
Désirer ce qu’on n’a pas ne fait que nous sentir vides et renvoie une mauvaise image de nous-mêmes. C’est comme si nos possessions matérielles nous définissaient.
Bien sûr c’est légitime d’avoir des désirs, mais pas au point d’oublier ce qu’on a déjà. Au final, on tombera toujours sur une personne qui possède ce qu’on n’a pas et peu importe notre statut social.
Le jeu malsain de la comparaison est infini, c’est le syndrome du serpent qui se mord la queue. Une fois arrivé à obtenir une chose tant désirée, un nouveau désir prendra place et ainsi de suite.
J’en parlais plus tôt, il y aura toujours quelqu’un de meilleur, de plus talentueux ou de plus chanceux. Cette course sans fin ne cesse jamais, à moins de décider de sortir de ce cercle vicieux consciemment.
Comment cesser de se comparer avec 8 conseils réalistes
1. Prenez garde aux réseaux sociaux
Ah, c’est toujours incroyable de voir à quel point sur Instagram, Twitter & co, les gens que l’on suit semblent tous avoir une vie extraordinaire. Même leurs petits déjeuners sont dignes des plus grands palaces.
On est sans cesse abreuvé de moments extraordinaires, de photos du bout du monde, d’entrainement de sport intensif et j’en passe. Pourtant, cela ne représente qu’une toute petite fraction de ce qu’ils veulent bien montrer, sans compter à quel point une photo peut être truquée ou manipuler.
Sur les réseaux il est toujours chose aisée de montrer une vision très succincte de la réalité et ça donne l’impression que la vie entière est merveilleuse sans un nuage. Sauf que les réseaux sociaux ne sont pas la réalité, loin de là.
Même si on le sait tous, on est cependant confronté à cette comparaison d’instants magiques face au quotidien de nos vies, nous rappelant à quel point nous sommes banals.
En soi, les réseaux peuvent être une source d’inspiration, mais ils doivent être utilisés avec prudence et rester sous notre contrôle.
Si vous ressentez des doutes, de la frustration, de l’envie, bref si en somme certaines personnes que vous suivez vous font vous sentir mal, alors le meilleur conseil que je pourrai vous donner : arrêtez de les suivre.
Soyez attentif aux gens que vous suivez, si ça déclenche chez vous des sentiments négatifs, n’hésitez pas à faire le ménage.
2. Soyez conscients de vos déclencheurs
Pour agir et changer un comportement encore faut-il en avoir conscience. C’est simple à dire bien sûr, car les processus automatiques comme la comparaison sont instinctifs.
C’est pourquoi il est beaucoup plus facile de traquer ce qui provoque ces phases de comparaisons dans un premier temps, et si ça ne fonctionne pas, alors analysez les émotions qui sont associées à ces moments de doutes pour remonter jusqu’à l’origine.
L’intérêt ici est d’identifier ce qui vous fait vous sentir mal, est-ce un voisin un peu trop flambeur ? Quelqu’un dans votre entourage qui passe son temps à ce vanter, les magasines people ou simplement le fait de vous balader sur les réseaux sociaux qui alimente votre envie de comparaison.
Découvrir vos déclencheurs permettra de mettre du recul et de prendre la responsabilité d’éviter ou de supprimer autant que possible ces situations.
3. Faites taire votre critique intérieure
Est-ce que vous aussi vous connaissez cette fameuse petite voix si singulière qui vous murmure des mots doux du genre « tu es nul », « tu ne seras jamais assez bien », « tu n’y arriveras pas ».
Si cela vous arrive, bienvenue au club. Toutefois, il existe un moyen efficace de la combattre et qui peut paraître surprenant. Nommez là. Alors quel est l’intérêt de faire ça me direz-vous. Et bien nommez les choses les rend moins fort.
Si vous connaissez Harry Potter, vous avez déjà observé ce phénomène. Celui-dont-on-ne-doit-pas prononcer le nom, Voldemort. Le fait de ne jamais dire son nom n’a fait que renforcer l’effroi et la terreur qu’il suscite.
Et bien il en va de même avec notre petite voix, personnellement j’ai décidé de l’appeler Micheline, parce que ça me fait penser à de vieux sketchs d’Élie Semoun et que ça me fait marrer !
Mais Micheline au fond, elle n’est pas marrante, elle est même méchante à toujours me rappeler que je ne suis pas assez bon, que je ne fais pas assez d’effort, que les autres font mieux que moi.
Sauf que maintenant que je lui ai donné un nom, je n’ai plus raison de me laisser faire, je peux même engager un dialogue avec elle, et lui dire simplement de bien la fermer.
Certes, vous n’êtes pas obligé d’être aussi agressif, mais n’hésitez pas à démonter ses accusations et à lui faire comprendre qu’elle n’aura plus de pouvoir sur vous.
4. Devenez votre meilleur ami
Lorsqu’on s’autojuge, on a plutôt tendance à devenir notre propre bourreau plutôt qu’un juge impartial et clément.
Demandez-vous une chose, que diriez-vous à votre meilleur(e) ami(e) si elle/il commençait à se comparer à quelqu’un d’autre de façon négative et injuste.
Lui diriez-vous qu’il/elle a raison et que c’est définitivement un échec en tant qu’être humain ou essayeriez-vous au contraire de lui faire comprendre que ce que dit votre ami(e) n’est pas fondé en lui démontrant pourquoi. Parce que vous, vous avez le recul sur la situation.
Et bien, cela s’applique aussi pour soi, vous n’avez pas besoin d’être si véhément envers vous.
Devenez votre allié et croyez en vous au lieu de sans cesse vous dévaloriser sans justification. Et pourquoi pas devenir votre premier fan. Ayez un peu de bienveillance, personne n’est parfait.
5. Transformer vos frustrations
Quitte à se comparer, autant que ça soit utile. Vous pouvez convertir vos jugements négatifs en source de changement et de motivation dans l’unique but de vous améliorer.
Mais pour cela, il faudra prendre pas mal de recul et mettre les choses en perspective pour vous canaliser et ne pas retomber dans le piège d’une comparaison contre-productive voir néfaste.
Choisissez des personnes que vous estimez, des personnes qui vous donnent envie de donner le meilleur de vous-mêmes.
Ici, il n’est pas pour objectif de ressentir de la jalousie, de l’envie ou de la culpabilité, mais de faire des analyses sur comment vous pouvez vous améliorer.
Vos comparaisons deviennent des sources d’apprentissage, c’est une parfaite occasion d’avancer, non pas pour correspondre à un idéal, mais pour devenir la meilleure version de vous-mêmes.
6. L’herbe est plus verte où on l’arrose
Lorsqu’on joue au jeu de la comparaison, on a tendance à penser que le jardin des autres est plus beau et que si on avait la chance d’être au même endroit, on aurait sans doute de bien meilleurs résultats.
Pourtant la réalité c’est que l’herbe n’est pas plus verte ailleurs, néanmoins elle devient resplendissante quand on en prend soin.
Que se passe-t-il si on ne prend pas soin d’un jardin ? Les mauvaises herbes poussent et s’installent, alors investissez sur vous, prenez soin de vous aussi bien mentalement que physiquement, votre jardin ne ressemblera jamais à celui du voisin, mais il sera magnifique et à votre image.
7. Vivez en gratitude
Lorsqu’il s’agit de comparaison, on a deux postures diamétralement opposées à adopter. La première est de passer son temps à désirer ce que l’on a pas, la seconde est d’apprendre à apprécier ce qu’on a déjà.
Dans le premier cas, c’est source de frustrations et de mal-être. On passe son temps à vivre dans un état de manque, car on se focalise sur le vide.
En ce qui concerne la seconde posture, c’est de reconnaître tout ce que l’on a déjà. Famille, amis, possessions matérielles. Avez-vous la chance d’avoir un toit pour dormir ? Cela peut sembler banal pour beaucoup, et pourtant bien des gens aimeraient avoir cette chance.
Vivre en gratitude, c’est également vivre dans une philosophie d’abondance, ce qui paradoxalement attire encore plus de belles choses que de vivre dans un état de manque.
En d’autres termes, vous voulez plus dans votre vie, alors commencez par valoriser ce que vous avez déjà.
8. Souriez, vous êtes unique
Il est temps de reconnaître votre valeur et votre unicité. Je sais que le monde nous renvoie en permanence des images de succès et comment on devrait être.
Sauf que vous, moi, nous sommes tous uniques et il est temps de le célébrer, de comprendre à quel point c’est quelque chose d’extraordinaire d’être soi.
Nous faisons tous de notre mieux, nous avons nos qualités et nos défauts, et c’est cela notre plus grande force.
Simone de Beauvoir disait : « j’accepte la grande aventure d’être moi ».
J’adore cette phrase, je la trouve magnifique, pleine de sens et de profondeur. Oui, ce n’est pas toujours facile, mais ça ne l’est pour personne. Se comparer, c’est fuir ce que nous sommes vraiment.
Prenez conscience à quel point vous êtes unique, valorisez-vous et souriez, vous le méritez.
Pour résumer, voici les 8 conseils pour cesser de se comparer aux autres :
- Prenez garde aux réseaux sociaux
- Soyez conscients de vos déclencheurs
- Faites taire votre critique intérieure
- Devenez votre meilleur ami
- Transformer vos frustrations
- L’herbe est plus verte où on l’arrose
- Vivre en gratitude
- Vous êtes unique
Conclusion
Se comparer aux autres est un réflexe naturel très présent dans notre monde, mais ce n’est pas une fatalité pour autant.
Le but n’est pas de supprimer définitivement ce processus, simplement de le rendre plus productif et de le tourner à votre avantage. C’est un chemin long qui nécessite des efforts et de la bienveillance, mais un chemin nécessaire pour se libérer d’un fardeau qui pourrit la vie de nombreuses personnes.
Je vous encourage à aller écouter mes différents podcasts sur la confiance en soi ICI et ICI si ce n’est pas déjà fait, ça sera une ressource inestimable dans votre changement.
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